Adam Swaski, le fou furieux

[Adam Swaski]

Personnage ♥

• Nom : Swaski [prononcer Sou - woo - ski] • Prénom : Adam • Surnom : Le mécano ou Ad' • Âge : 19 ans • Sexe : Masculin • Race : Humain • Date de naissance : Premier Avril ! • Nationalité : Russe • Gentil ou Sadique? : Sadique ... Ou Gentil... Non pas gentil, faut pas pousser !! • Orientation sexuelle : Hétéro • Groupe sanguin : B- selon sa carte militaire

Adam. Avec un nom pareil doit-on parler d'un physique représentatif de ce que voulait dieu ? Peut-être pas. Après tout Adam & sa douce, ont commis le pêché divin. Ils ne sont pas parfait, loin de là. De ce fait qu'est-ce qu'il est ? Un être céleste qui à chuté ? Non, un simple humain. Un bambin ayant atterrit dans la froide Russie. Et ô miracle de la génétique il est né... Ou plutôt miracle d'un homme bien baraqué aux dents blanches et d'une belle femme aux lèvres pulpeuses et dont les yeux brillaient pour sa patrie, ayant par un soir de beuverie, procrées.

Mais loin de vouloir nous miner le moral - nous aurons le temps pour ça plus tard, venons en au fait. Vous savez, le physique. Adam a la chance selon les siens, d'être un parfait aryen. En effet, il n'est pas faux de lui apprêter un tel stéréotype. Ses cheveux sont d'un beau blond sablé, tombant avec ou sans délicatesse sur la moitié de son visage. Tout est laissé au hasard du vent et de ses caprices, bien qu'il replace d'un geste récurant sa chevelure en arrière, pour y voir un peu plus clair. Il aurait été plus simple de faire un tour chez le coiffeur, mais l'habitude faisant, il préfère rester avec sa touffe devant les yeux. Ces derniers sont d'un bleu chromé, devenant parfois le miroir d'une folie passée et qu'il n'a finalement... pas tout à fait quitté.
Un petit nez remontant légèrement, comme une audace à la douceur qui aurait pu guider son visage, apparaît dessous ses cheveux, suivit de lèvres fines, souvent étirées dans un sourire dangereux dirons-nous. Son teint quant à lui est légèrement basané, vestige de diverses escapades à transpirer sous un soleil de plomb. Malgré une vie assez dure, Adam a gardé les traits plutôt délicats de l'adolescence, transcendés par un menton pointu. Son cou bien droit sur ses épaules, disparait souvent dans de larges cols ouverts. Ses tenues sont elle aussi très évasées au niveau du torse, masquant ainsi sa physionomie.

Non que son corps soit une honte enfaîte. Ayant suivit une éducation toute militaire, le garçon possède une musculature bien définie et pas un poil de graisse. Ajouté qu'il se tient parfaitement droit, la tête haute, les clavicules saillantes. Les tenues réglementaires l'ont également suivies et il prend un grand soin à porter au delà de ses manches retroussées, une paire de gants de cuirs bruns, protégeant ses doigts en cas de pépins. Et pépins il y a. Se battant bizarrement au corps à corps avec des outils, il se traine souvent une clé à molette sur lui, pour tabasser les autres.

Ce petit mécano est donc plutôt mignon dans son genre, avec son allure mêlant délicatesse et droiture militaire... Mais de loin hein... Parce qu'une fois qu'on l'a vu, les mains salis d'un liquide qu'on ne préférera pas identifier, on commence réellement à se demander s'il est fréquentable... Craquant ou non, évite le si tu peux... Et si tu ne peux pas, bon courage.

Adam, Adam, croque la pomme Adam et laisse toi aller à la folie qui te sciait à merveille... Es-tu fou au point d'être internet ? Je ne crois pas non, tu n'es pas comme ça. Et tu ne l'a pas toujours été. Mais aujourd'hui ça te colle à la peau , ça fait parti de ton mental, tu sais ? Quoi, tu ne saurais pas te décrire mentalement ? Allons, je vais le faire pour toi...

Historiquement parlant, il fait parti de ceux qu'on enlevait à leur parents, en promettant à ces derniers d'en faire l'avenir de la patrie, pour ensuite les entrainer à devenir des machines de guerres ou de la chaire à canon, quand ils étaient trop inutiles.
Petit donc, Adam a connut le choque d'être séparé du foyer familiale, pour se retrouver dans un camp froid et sans une once de fraternité. Chacun pour sa peau et celui qui vivra, verra pour les autres. Dans cette atmosphère, t'avais deux moyens de survivre : faire parti des plus forts ou être le larbin des plus forts. Adam choisit le premier camp. Se détachant de ce qui aurait put le faire chuter de son piédestal, le gamin se mit à observer, l'air moqueur les autres essayant de se dépatouiller des marécages infestés de pièges. Lui se sentait fort, il était le plus fort ! De son être suintait cette confiance en soi que seul les maîtres du monde ont. Dans tous les entrainements, il était vainqueur et s'était devenue une routine, autant que le lit à faire au carré, chaque matin.

Passant très vite au niveau supérieur, il développa un autre trait de caractère : la froideur d'âme. Dans la cruauté du monde qui l'entourait, il se devait d'exécuter sans avoir la moindre empathie pour celui qui... en pâtirait. Au début c'était que des punitions qu'il devait donner. Enfaîte ça n'a jamais dépassé le stade de la douleur. Adam s'en sortait donc avec une sur confiance en soi, une antipathie légère et surtout une folie naissante. Comment veux-tu en effet ne pas craquer à mesure de sentir encore et encore les effluves de sang rouiller te pénétrer ? Ne sachant même plus ce qu'était la vraie normalité, ce qu'était qu'un comportement normal, Adam perdait la notion des choses. Autant il pouvait éclater de rire en voyant un de ses camarades tabassés, autant il pouvait se mettre à pleurer quand on lui refusait d'en être l'auteur. Oscillant entre puérilité et effrayantes envies, il se développait chez lui, quelque chose de dangereux.

Mais la décadence intervint, comme un ballet tranchant. Après une guerre à laquelle il participa et dont on passera les détails pour l'instant, Adam retrouva soudainement la normalité. Oui on l'avait remit chez lui, oui on le confrontait à la vie banale. Au quotidien des autres. Mais à une telle vitesse, qu'il ne put rien faire contre les traumatismes qui l'encerclaient. Et a force qu'on lui dise qu'il avait été maltraité, qu'il avait vécu dans un milieu trop malsain, qu'il avait trop vu... Eh bien Adam craqua tout simplement. Comme une dépression qui l'enchaina, il ne faisait que des cauchemars sur la guerre, ne parlant plus à personne le jour, ne mangeant plus la portion nécessaire pour un militaire. Enfermé dans un carcan muet, il ne disait rien de quoi faire pour l'aider. Envoyé à Neko's world, on espérait qu'il trouverait neko pour le ramener dans les sentiers équilibrés.

Au point où nous en sommes, comment peut-on définir Adam... Il est enfaîte un être dévalant les pentes d'une folie dérangeante. Sa cruauté n'a de borne que celle qu'on lui a apprise, sinon aucune. Et pourtant tracassé de comprendre en quoi ce qu'il fait n'est pas normal, le mécano cherche constamment à en apprendre plus, pour ainsi réparé les boulons désaxés de son cerveau. Sadique, gentil, tyrannique... Lunatique enfaîte. Et toi sur quel côté de sa personnalité tomberas-tu ? Côté clé à molette ou main ganté ?

Une naissance comme une grande blague... Le premier avril. Ça donnait plutôt pas mal quand on se disait que sa création était du à un soir avec un trop plein d'alcool. Malgré ce début peu glorieux, Adam connut une enfance sympathique, dans la petite bourgeoisie Russe. Maman et papa étaient très patriotiques. Mais qui aurait cru qu'ils le soient au point de le confier au soin d'une partie moins connue de l'armée. A cinq ans, le gamin se retrouva alors arraché au bras de sa famille pour vivre un entrainement militaire avancé, pour les jeunesses Russes. Tout était si dur là-bas. On devait faire son lit au carré, crapahuter comme des bêtes dans la boue et grimper à des cordes raides. Au début, il ne faisait que pleurer, appelant papa et maman au secours. Mais il fallut se rendre à l'évidence. Ils ne viendraient pas. Virant automatiquement de bord quand il comprit ceci, Adam changea. Finit le pleurnichard, bonjour le vainqueur. Il s'entrainait dur pour être le premier de sa promotion. Son lit était impeccable, ses rangers lassées à la perfection, sa maîtrise des armes à feu plutôt pas mal pour son âge.
En dessous de lui, il voyait encore quelques gamins chouiner. Et il se moquait. Bande d'idiots, plutôt que de vous morfondre, faites comme moi, surpassez vous, oubliez les... Il n'y avait que ça à faire. Les souvenirs étaient bien trop douloureux entre les quatre murs d'aciers qu'étaient sa chambre.

Portant fièrement le blason Russe à son bras, il se pavanait dans les couloirs de la base souterraine. Chaque jour grandissant un peu plus, devenant fou toujours plus, il se trainait avec sa clé à molette, devenue son outil de torture préféré. Oui, c'était un fait. Il était assigné à la torture. Les prisonniers se montraient souvent stupéfiés de voir un gamin d'une dizaine d'années être capable d'une telle cruauté. Et lui savourait. Oh qu'il savourait de les entendre le supplier, dire qu'il le sauverait des griffes de ce monde malsain. Mais kesako ? D'où son monde n'était-il pas bien ? Cinq ans qu'il vivait là, c'était devenue une routine si bien ancrée, qu'elle était tout à faire n-o-r-m-a-l-e ! Mais ils s'obstinaient. Et plus ils osaient dire mot sur son sort, plus il devenait méchant, sadique. Ses rires et sourires vibraient d'une consonance effrayantes.

Ce petit prodige de l'éducation antipathique fut un beau jour envoyé sur le front de la guerre. Bien sûr qu'il réussirait à les tuer ces saletés d'ennemis ! Lui le mécano, comme on s'amusait à l'appeler à cause de son arme fétiche. Au début, Adam adorait ce nouvel élan de liberté qu'on lui offrait. Il côtoyer de plus des hommes ayant déjà fais leurs armes. Ils étaient plus vieux que lui et ses quatorze années. Plus d'expériences... Mais pas que dans le domaine des armes et ça, il l'apprit à ses dépends. Il était tard et quelques gars buvaient de la soupe refroidie dans une gourde de métal. Adam lui, nettoyait se clé à molette avec un soin d'orfèvre. Et là, alors qu'il était tranquille dans son coin, un de ses Camarades vint à ses côtés et se mit à lui caresser le bas du dos. Effarouché car viril, l'adolescent s'écarta, le regardant avec beaucoup de suspicion. Il se demandait bien où il voulait en venir là... Surtout qu'il était intelligent et sentait quand un danger se présentait. Malheureusement, malgré ses craintes bien fondées, il n'arriva aucunement à se défendre de l'acte, son outil étant tombé par terre, tandis qu'il était entrainé dans une tente. Aucun cri, aucun gémissement, juste des yeux écarquillés. C'était ça la guerre... C'était ça l'armée Russe ??? Une bande de dégénérés s'en prenant à ce qu'ils considéraient comme de la chaire fraiche ?!

Souillé par un de ceux qu'il considérait comme l'élite, Adam se promit vengeance. Vengeance pour la honte de l'acte, la honte du lendemain, lorsqu'après avoir vomit sa bile, il avait du rester recroquevillé sur sa couche, une douleur submergeant le bas de son dos. Ses yeux restèrent sec des larmes pourtant. Pas pour lui les pleurs, pour personne même. Plutôt que ça, il éclata d'un rire sans joie et se prenant le visage entre les mains, il continua à rire encore et encore, la folie se prenant encore plus à son jeu... Quiconque le toucherait, regretterait sa naissance.

Quand il fut mieux, il reparti sur le champ de bataille. Sa clé à molette tapait contre sa cuisse. Son regard si beau dans ses nuances de bleus, était éteint. Et sa frimousse animait d'un horrible sourire.
Et la clé qui tape... Il avance... Et la clé qui tape... Il le voit le dégénéré... Et la clé qui tape... « Hey toi là... »... Et la clé qui... TAPE, TAPE, TAPE !
Voilà, il regrettait ! Dans une férocité monstre Adam frappait le corps de ce russe ayant osé commettre l'acte du péché sur son corps d'enfant. Les os craquaient, la figure se décomposée, les forces s'en allait, Adam haletait. Mais c'était fait. Et bizarrement, il vit qu'il pleurait. Les larmes faisaient leurs chemin sur ses joues, devenant symbole d'un traumatisme retenu. Ses épaules s'affaissèrent, tremblèrent. Le mécano restait un gamin et même avec la plus dure des éducation, il ne pouvait accepter le... Le mot tabou...

La guerre prit fin pour lui d'une brusque manière. On le ramena dans la capital vers ses dix sept ans. Et en un clignement d'oeil, on commença à le noyer sous un flot de paroles. Pauvre gamin maltraité, on va te sauver... Oh stop là ! Qu'est-ce qui se passait encore ? Pourquoi personne ne l'écoutait. Qui étaient cette femme et cet homme qui lui ressemblait ? Maman et papa ? Mais... Pourquoi ? Pas le temps de protester, il avait un nouveau toit, de nouveau sa famille et plus de guerre. On le harcelait de questions, lui demandant son ressentit sur la guerre. Lui demandant s'il allait bien mentalement. Mais Adam n'en pouvait plus de tout ça. Et plus ça allait, moins il se sentait bien. Comme déconnecté de son propre monde, il restait roulé en boule dans son lit, ressassant tout son parcourt, avec une frayeur indigne d'un militaire. Pauvre gamin submergé par les souvenirs, n'ayant pas l'appuie des autres, parce que le considérant comme de trop.

Deux ans que ça dura ainsi, presque... Sans bougé de sa maison. Juste s'entrainer au parcourt, installé dans le jardin, rien que pour lui. Ses parents restaient de purs inconnus, semblant plus riches que dans ses brefs souvenirs. Mais cette situation devenant invivable pour lui et se ressentant à des mille de là, par son étrange aura pleine de mélancolie, sa mère lui proposa d'aller à Neko's world. Elle croyait qu'en l'envoyant voir le monde des matous, il trouverait de quoi se changer les idées. La bonne blague. Il ne voulait pas, car personne ne pourrait l'aider. Mais répétant, encore et encore l'idée de l'envoyer, il finit par être mit devant le fait accomplit. Adam savait l'armée fourbe, mais pas de simples civils. Drogué par son père, il se réveilla dans un bateau à destination pour l'étrange île. Un sac militaire avec ce qu'il semblait préférer trônait à ses côtés, tandis qu'une lettre lui souhaitait bon courage. Avec énervement, il la roula en boule et la jeta par terre.
« Si un de ces bordels de chat croise mon chemin... J'le dégomme. Et ils verront s'ils ont eut raison d'me trainer ici. »
Vérité ou simple coup de colère ?

Autres ~

• Code de validation : {Code bon by Kohairi ~♥ }
• Comment à tu connu neko's Worldless ? : Yumi ! [ou Iseult]
• Un p'tit mot ? : Canard ?

[Kohairi]

Yumi.....Yumi? xD *PAN*
Yumi que je connais?

[Adam Swaski]

voila finish, j'espèreque l'histoire est pas trop bordélique xD

[Yahiko Tseng]

C'est moi qu'elle appelle Yumi, car mon personnage le plus connu s'appelle ainsi =).

J'adore ton personnage, et ton écriture est fluide.

[Ryoushi]

Ne t'en fais pas Adam. Je suis presque sûr qu'elle ne lira pas tout. A part peut-être Kohairi, les autres sont des fainéants. *sent des regards méchants derrière lui*

Sinon, bienvenue et amuses-toi parmi nous.

[Carly De Veysel]

Détrompe-toi Ryoushi moi j'ai tout lu
Sinon Bienvenue Parmis Nous Adam !!

[Adam Swaski]

comme quoi il n'y a pas que des feignants Ryoushi !

Merci Carly' ;p

[Ryoushi]

Oui, mais regarde comment, elle écrit, je ne suis pas sûr qu'elle ait tout compris. XD

*tombe KO*

[Adam Swaski]

qu'est-ce que ça veut dire que çaaaaaa ? ._.

[Ryoushi]

Fais pas attention, je me moque d'elle, je le fais avec chaque membre du forum, un jour, ça sera ton tour. Niark Niark. XD

[Adam Swaski]

fais attention à toi j'ai une clé à molette... et je sais m'en servir HA HA HA [oulalala ça flood, ça flood ._.]

[Ryoushi]

Effectivement arrêtons-nous là. Sinon, on va se faire engueuler.

[Kohairi]

... ah bah pendant que je passe mon BAC, on flood?
Pour la peine, je ne la valide pas dessuite >o< ( c'est surtout que j'ai pas le temps là, je ressort et coupure de courant >.> bref, je ferais ça demain, promis et désolée =p)

[Adam Swaski]

ouhhh le pas beau prétexte, flooder est un art de vie /sbaf/
Enfin... Bonne chanc epour les exem [moi je passe celui de math \ o / [comment ça je devrai être au lit ?nan U_U]]

[Kohairi]

J'ai enfin eu le temps de lire ( okay je mange et alors? xD)

Qu'elle belle histoire ** J'ai beaucoup ton perso, vraiment =)

Tu es donc, officiellement,

♫ Validé ~♥

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